En tous cas, dans le zodiaque chinois, oui, je revendique le terme de "Rat" puisque c'est mon signe ! Et je dois dire que la description qui en est faite est assez fidèle...
SON CARACTERE
Le Rat est sociable. Il est attaché à la vie et compte avec les autres. Il a beaucoup d'amis car il n'aime pas la solitude. Très intuitif, il possède la compréhension des choses avant qu'on les lui explique. C'est un grand avantage dans les rapports avec les autres. Il aime s'exprimer dans le domaine artistique. Par contre, ses colères sont terribles, mais il n'est pas rancunier.
SES CENTRES D'INTERET
Professionnellement il aime les postes à responsabilité où un contact avec le monde est possible. Son côté organisateur peut l'entraîner dans le domaine des loisirs, du tourisme ou du spectacle. Egalement du côté des professions médicales ou juridiques. C'est dans le rapport avec les gens qu'il se sent le mieux.
SES AFFINITES
Il est secourable. Dans un couple il dominera l'autre quel que soit son sexe, tout en laissant croire à l'autre qu'il est libre comme l'air... ce qui ne sera pas le cas. La grande facilité qu'il a à s'entourer de nouveaux amis l'expose à des aventures sentimentales pouvant se retourner contre lui.
J'ai toujours eu une profonde aversion pour l'injustice, qu'elle m'ait touchée ou qu'elle touche les autres. Je sais qu'il ne s'agit que d'indignation et que ma conscience ne vise pas spécialement ce qui se fait ou ce qui ne se fait pas. Juste un besoin d'équité et d'impartialité...
Encore aujourd'hui j'ai envie de me battre contre elle et c'est le sens de ma démarche actuelle puisque je viens de déposer un dossier pour devenir Juge de Proximité
A méditer...
Le concept d'« injustice » est négatif, il est le contraire du concept de « justice », il se définit donc étymologiquement en rapport à son positif. L'injustice pourrait donc se définir comme ce qui est contraire à la justice – et sa définition dépendrait donc de celle que l'on attribue à la justice. Alors, l'injustice sera-t-elle ce qui caractérise les actes qui sont contraires à la justice ? Mais ces actes sont-ils les actes qui n'ont pas explicitement la justice comme motivation (je commets tel acte parce que je tiens à aller contre la justice, parce que mes motivations, ou même mon caractère, est injuste) ? Ou sont-ils ceux qui, involontairement, causent du tort à la justice (je commets tel acte sans vraiment en connaître toutes les conséquences, or il se trouvent que ces conséquences sont injustes) ?
L'injustice est-elle consciente, est-elle une opposition délibérée à la justice, ou est-elle le résultat d'une ignorance de ce qu'est la justice ? Autrement dit, l'injustice peut-elle ou non avoir un contenu positif et actif ? La manière dont on définira l'injustice dépendra en premier lieu de la branche que l'on choisira dans cette alternative.
L’injustice est un concept négatif, au sens où il ne se comprend que par opposition à la justice. On dira que ce qui est injuste, c’est ce qui ne respecte pas la justice. Pour déterminer ce qu’est une injustice, il faut donc envisager en quels sens on peut ne pas respecter la justice.
La justice peut s’entendre d’abord comme conformité à la loi. En effet pour qu’une action puisse être dite juste ou injuste, il faut pouvoir l’évaluer par rapport à un critère. Or en l’absence de loi on n’aurait aucun critère pour évaluer l’action. Dans cette perspective, l’injustice se comprendra alors comme le fait de ne pas respecter la loi. Si le fait de ne pas respecter la loi est injuste, c’est que la loi est censée être la même pour tous, et qu’elle est donc censée garantir à chacun les mêmes droits, mais impose également à chacun les mêmes devoirs. Donc celui qui ne respecte pas la loi rompt l’égalité devant la loi est se comporte donc de manière injuste, puisqu’il n’assume pas la part de devoirs qui lui revient.
On peut pourtant faire remarquer que la légitimité ne se confond pas avec la légalité. Il se peut en effet que la loi elle-même ne soit pas juste. Dans cette mesure il peut être injuste de respecter la loi, et juste de la transgresser. L’injustice sera alors non plus de ne pas respecter la loi positive, édictée par les hommes, mais de contrevenir à une norme de justice inscrite dans la nature même des choses.
Mais il se peut aussi qu’une loi juste donne lieu à des applications injustes de la loi. En effet la loi étant par essence générale, elle ne peut anticiper sur les cas particuliers qui se présentent. Il se peut alors que la loi soit juste dans son principe, mais donne lieu à des applications injustes. L’injustice est alors manque de jugement, c'est-à-dire incapacité à appliquer la loi avec discernement.
Il s'agit là d'un développement concernant l'injustice dans son cadre "juridique" puisque c'est ce qui est censé me concerner.
Mais l'injustice peut aussi se subir dans un cadre beaucoup plus ordinaire quand, par exemple, vous avez le sentiment d'avoir donné tout ce que vous pouviez et que le retour ne se fasse pas...Ce que vous estimez être de l'injustice devient alors de l'incompréhension, de la frustration, de la colère et de la révolte...
A son arrivée au pouvoir, Barack Obama avait promis de mettre un terme à la mission de combat des troupes américaines en Irak d’ici le 1er septembre 2010.
Les effectifs de l'armée américaine sont récemment passés sous la barre symbolique des 50.000 soldats, contre 170.000 en 2007.
Entamée en mars 2003, la guerre d’Irak aura duré plus de temps que la première où la seconde guerre mondiale, couté mille milliards de dollars aux Etats-Unis, fait au moins 4400 morts dans les rangs américains et plus de 106.000 morts cote irakien.
D’après les dernières déclarations officielles, l'ensemble des forces américaines doit avoir quitté le pays d'ici fin 2011.
Cette information m’a rappelé le succès de l’un de mes billets, qui évoquait notamment la guerre au Viet-Nam.
Comme je le fais de temps en temps pour ceux qui ont connu un bon succès d'estime, et pour le plaisir, je remets ce billet en ligne… Son titre était : "le karaoké à Woodstock."
Le Karaoké est un mot d'origine japonaise, du mot Kara = Vide (forme courte de karappo) et
Oke = Orchestre (forme courte de orukesutura) .
C'est un divertissement permettant aux participants de chanter (en solo, en duo ou en choeur) en « playback », c'est à dire sur la version instrumentale d'une musique connue sans la voix du chanteur original, en suivant les paroles sur un écran. Ces paroles défilent à l'écran au rythme de la musique et changent de couleur au moment de chanter.
Le karaoke tire son origine des bars de Kobe, ville de l'ouest du Japon. L'histoire voudrait que le patron d'un bar de la ville invita ses clients à chanter alors qu'un de ses musiciens était absent. Le succés fut tel qu'il décida de continuer.
Le karaoke permet aux japonais de se libérer du stress quotidien de leur travail. Il permet également de lever ses inhibitions, apprivoiser sa peur du public et resserrer les liens amicaux.
En France, cela fait déjà quelques années que ce divertissement fait fureur, surtout chez les jeunes, mais saviez-vous que dès les années 69, le karaoké était utilisé, à l'occasion de grands rassemblements, pour créer une ambiance festive et décontractée ?
La preuve, regardez en les prémices (à partir du milieu de la vidéo) en écoutant un des papes de la "country" Joe McDonald, à Woodstock
:
Comment ? La guerre du Viet-Nam n'est plus d'actualité ? Ah bon, je me trompe de guerre alors !!!
Et regardez tous ces jeunes, comme ils sont beaux !....ils ont soixante ans aujourd'hui !!!
Mon dernier coup le cœur, le dernier disque d’Abbey Lincoln, sorti en 2007.
Blue Monk
Quelqu’un a dit, en parlant d’elle : « dans ce monde du jazz, il est des voix de fumée s'envolant en volutes cassées, changeantes et fragiles, il est aussi des voix lourdes, directes et profondes. Elles vous empoignent et demeurent en vous comme des orages en suspens. Entre brûlure et froidure, la voix immémoriale d'Abbey LINCOLN est là, parmi nous, nous murmurant que le monde s'écroule autour, mais que le sourire demeure.
Cette sagesse, amère mais non désabusée, c'est une grande dame qui avec sa façon unique de chanter, pure, directe, droite, nous le dit avec sa voix patinée de vie. Voix du jazz ? Plutôt conscience, qui nous illumine encore de sa générosité, de sa vérité. Cri, prière, protestation, révolte, plainte et complainte, elle est tout cela. Elle parle depuis toujours d'amour et de souffrance, d'espoir et de fidélité. Son immense sourire à manger toutes les lunes bleues du jazz, resplendit sous son chapeau noir. Beau visage, belles saisons et belle source, Abbey Lincoln a la sagesse de ceux qui auront changé le monde pour sauver les rêves ».
The world is falling down
...hold my hand...prends ma main...
Abbey LINCOLN nous a quitté à 80 ans le samedi 14 août 2010.